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    Jeudi dernier, j’ai quitté Séville traversant le Guadalquivir par le Pont Isabel II longeant pendant quelques temps le fleuve pour rejoindre la campagne au-delà de Camas. Dans les faubourgs, j’ai retrouvé l'Espagne d'antan, crasseuse et poussiéreuse, avec ses innombrables immondices le long des routes.

    L'arroyo scabreux entre Séville et Guillena (en 2011 !)

    Passées les dernières habitations, dans les rares bosquets du secteur et puisque c’est déjà le printemps par ici, une bouscarle, une cisticole ou un cochevis huppé égrenaient leur chant ou leur cri dans un décor devenu aride ...

     

     

     

     

     

     





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